samedi 12 mars 2016

La Grande Mutation de 21 Dec 2020



La Grande Mutation de 21 Dec 2020 



En ses temps troublés où la course aux pillages des ressources de la planète, continue à précipiter les dernières brides meurtries de la vie dans les entrailles enfumées de l’enfer, et que le culte du veau d’or semble être devenu la seule et unique religion à laquelle adhèrent nos élites corrompues, l’aube de l’ère tant annoncé du Verseau se pointe enfin à l’horizon et nous annonce l’arrivée d’un âge d’Or sans précèdent !

Toutefois si l’âge d’or il y a, en revanche le passage de l’ère précessionnel des poissons à l’ère de verseau ne se fera visiblement pas sans un grand nombre de bouleversement dont les dérèglements climatiques, les crises énergétiques et sociaux-économiques, les replis identitaires, ainsi que les conflits intracommunautaires, idéologiques et religieux, n’en sont que la partie émergée de l’iceberg.

Les sanctuaires antiques étaient voilés, disait le maître Eliphas Levy [Alphonse-Louis Constant : né le 08 février 1810 à Paris, et mort le 31 mai 1875] et quand le voile se déchirait, cette catastrophe annonçait la fin d’une religion et d’un monde, et le voile ne se déchire pas sans que la terre ne tremble [Le livre des Splendeurs] » !

Les ères précessionnels se mesurent par le point vernal. Appelé aussi le point Gamma. Les Mages l’appelaient surtout l’aiguille du monde, car il indique l’heure sur l’horloge cosmique (la montre de Dieu). Il recule d’un degré (mouvement rétrograde) tous les 72 ans. Le point vernal met environ 2160 ans pour traverser (à reculons) un signe du zodiaque (c’est ce que nous appelons une ère zodiacal). Bien sûr chaque ère imprègne le monde sublunaire de ses influes sidérales et submerge l’action des quatre éléments d’une coulée de la matière astral spécifique, pour employer une expression chère à d’André Barbault. Nous sommes actuellement à la fin de l’ère des Poissons qui a débuté à peu près vers l’an 6 ap-JC. Cela fait donc plus de 2000 ans que nous subissons les influx neptuniens et corruptrices du signe humide et froide des Poissons.  





L’influence de ce signe agit comme un dissolvant puissant, son action corrosive dissout les fondements mêmes des sociétés traditionnelles et entrainent  l’effondrement des transmissions initiatiques et des valeurs ancestrales. Né alors un chaos obscur dominé par une foi aveugle qui livre les écrits des philosophes aux flammes pour prouver la supériorité de la foi sur la science ! Cette science noble et divine que les anciens appelaient ; « la science hermétique », et que le monde moderne a reléguée au rang des sciences occultes et de superstition. 

L’ère des Poissons c’est aussi, la déception, l’illusion, la confusion, la peur, les phantasmes, la fraude, le faux, l’arnaque, le toc, le caché, le mystérieux, et en somme tout ce qui se trame dans un sinistre brouillard Neptunien !
Apparaît alors le culte de Nazaréen, on prêche l’amour universel, il est question de sacrifice, de la mort, du crucifie, mais aussi du pardon, ce sont aussi les valeurs propres aux signe des Poissons. Tout est là, jusqu’au syndrome même de la persécution, trait négatif spécifique au signe des Poissons, parfaitement incarné par le protagoniste du culte, le crucifié lui-même !       

Les Poissons sont le XIIème et le dernier signe du zodiaque, et à ce titre ils portent le symbolisme de la fin, de la mort et de la dissolution des quatre éléments dans les eaux abyssales. C’est la matière (le corps) qui se dissout pour que l’esprit rennaise à l’infini. Cet infini est le Verseau le XIème signe du zodiaque, qui en analogie avec la XIème maison de l’horoscope représente les grandes espérances, les grandes aspirations, c’est la recherche de la solidarité et de la fraternité universelle, de la liberté intellectuelle et du partage collective.   
   




Le signe des Poissons est aussi un signe double, leur symbole est représenté par deux poissons qui nagent dans le sens opposé. Dans l’Egypte ancienne il y a deux fleuves qui jaillissent de l’abîme de l’eau primordiale, l’un est terrestre, c’est le poisson de gauche qui nage la tête en bas, et l’autre céleste, c’est le poisson de droite, qui nage la tête vers le haut. Dans l’antiquité le plus grand hommage qu’un adepte du culte de Dagon (le terrible dieu des océans à tête de poisson) pourrait faire, était de se noyer pour s’offrir en sacrifice et s’unir à son dieu.

Marcelle Senard, écrivait à propos de la transition de l’ère des Poissons à celui du Verseau : « Cette action dissolvante de l’eau primordiale dans le Verseau correspond à la phase décrite par les illuminati, comme l’anéantissement, la mort mystique, l’abandon total, la désolation, la nuit de l’âme, de l’engloutissement sans limite en un néant insondable ! » [Le Zodiaque, Clef de l’ontologie appliqué à la psychologie 1948].     


Le yin prédomine dans l’ère des poissons, par conséquent le yang refroidit graduellement et perd de sa force, ce qui cause l’effondrement des civilisations solaires et patriarcales, les cultes Jupitériens et Solaires disparaissent et cèdent la place aux cultes lunaires, vénusiens, ainsi que saturniens (notez que d’après la cosmogonie Zervāniste Venus et Saturne appartiennent au domaine d’Angra-Mainyu) Pourtant le poisson est aussi le domicile de Jupiter, sont domicile nocturne notamment, mais c’est surtout l’influence neptunien qui prédomine sur l’ère zodiacal des Poissons. L’action de l’eau, combiné à une forte humidité provoque la résurgence des tendances féministes et matriarcales, la société se féminise et crée un troisième genre que sont les androgynes, cela aussi a été prédit et particulièrement à travers les prophéties des Yzadis (les Yézidis).


Les Yzadis (mot d’origine zoroastrienne issu de la racine Yazata, c’est-à-dire divinité ou ange en avestique. Yzadi, signifie divin, un Yazidi est quelqu’un qui  vénère, ou adhère au culte des 7 archanges), sont une population issue de l’ancienne Mésopotamie qu’on accuse à tort d’être des adorateurs du diable ! Leurs prophéties remontent au XIIIème siècle, elles ont étaient écrites en proses huit syllabiques, tout comme les saintes Gathas de Zoroastre. Le quatrain 15 annonce : « les hommes et les garçons porteront des habits féminins pétillants de couleurs, ils se maquilleront et auront une démarche féminine, alors les hommes et les femmes se ressembleront … » et le quatrain 17 : « les bons et les pieux seront exilés et apatrides, et le monde tournera en faveur des femmes ».                         

L’ère des poissons correspond également au crépuscule du Kali Yuga, l’âge sombre, l’âge dite de fer d’après l’eschatologie mazdéenne. Voici quelques extraits des Linga Purāna, textes sacrés de l’Inde, sensés d’écrire l’époque actuelle. Ils sont traduites et présentées par Alain Daniélou dans son livre Le Destin du Monde d’après la tradition shivaïte ; 

Ce sont les plus bas instincts qui stimulent les hommes du Kali Yuga. Ils choisissent de préférence les idées fausses. Ils n’hésitent pas à persécuter les sages, l’envie les tourmente … ils seront sans morale, irritables et sectaire … tout le monde emploiera des mots durs et    grossier … les hommes chercheront qu’à gagner de l’argent, les plus riches détiendront le pouvoir … des gens sans ressources seront leurs esclaves … les femmes seront minces, gourmandes, attachées au       plaisir … elles seront égoïstes et leurs paroles seront perfides et trompeuses … elles s’orneront de coiffures extravagantes et quitteront un mari sans ressources pour un homme riche … elles seront nombreuses à avoir des rapports avec plusieurs hommes … le nombre des hommes diminuera, celui des femmes augmentera … les chefs d’états ne protégeront plus le peuples, mais au moyen d’impôts, s’approprieront toutes les richesses … le nombre des princes et des agriculteurs déclinera, les classes ouvrières voudront s’attribuer le pouvoir royal et partager le savoir, les repas et les lits des anciens princes … les nouveaux chefs seront d’origine ouvrière, ils pourchasseront les prêtres et les tenants du savoir …    

Notez que les hommes qui cherchent à gagner de l’argent, ainsi que les riches qui domines les pauvres, ce n’est pas en effet une nouveauté. Des hommes cupides il y a hélas toujours eux sur terre, on ne peut donc attribuer exclusivement ses faits à notre époque. En revanche des femmes minces à la limite de l’anorexie, se promenant et se paradant avec des coiffures extravagantes, c’est bien là un phénomène singulier propre à notre époque, car la minceur n’a jamais été un critère de beauté, du moins dans l’antiquité !  
De nombreux dates ont étaient annoncées pour la durée du Kali Yuga, dont celle de 6.480 ans qui semble être la plus probable (d’après les
Aryabhata, le kali yoga aurait débuté en – 3101 aj-JC). Quatre âges se succèdent perpétuellement et font partie d’un grand cycle d’à peu près 25.000 ans qu’on appelle un Manvantara (25.920 ans, un cycle complet précesionnel). Dans l’INDIA, œuvre monumentale sur les sciences sacrées de l’Inde, Al-Bīrunī site quelques passages du Vishnu-Dharma,  à propos de l’âge de kali :

Il est écrit que durant la période de kritayuga (kali yuga) il ne restera plus qu’un quart de bien sur terre, et le mal augmentera jusqu’à pratiquement l’épuisement et la destruction de tout trace de bien sur terre ! Alors les habitants de la terre périront et une nouvelle race surgira de quelques survivants qui se seraient dispersés ici ou là aux sommets des montagnes ou dans les profondeurs des caves. Ses derniers se réunifieront pour louer l’Esprit et se protéger de la race démoniaque des hommes [India : Al-Bīrunī, p 374 / traduit de sanscrit en anglais par Dr Edward Sachau].

Il est aussi écrit que vers la fin de l’âge de kritayuga, les hommes seront entièrement occupés à s’enrichir et à amasser la fortune en commettant des crimes. Ils ne se retiendront d’aucuns ignominies, et cela aboutira à la révolte des petits contre les grands, des enfants contre leurs parents, des serviteurs contre leurs maîtres, des ouvriers contre leurs patrons. Les généalogies et les races seront confondues et les quatre castes de la société disparaîtront. Les religions qui apparaissent durant l’âge de kali sont sectaires et empreint de fanatisme. 




La théorie des quatre âges était aussi connue de toutes les grandes civilisations de l’antiquité, comme les Égyptiens, les Grecs, les Perses et les Romains. Bien que ses prophéties semblent données une description très fidèles de certains aspects les plus sombres de notre époque, au regard des règles de l’astrologie traditionnelle ils paraissent cependant dénués de références fiables du point de vu sidérale et astronomique. Par ailleurs les durées des cycles sont souvent trop longues pour qu’on puisse identifier avec précision un début et une fin. 

Ce que nous dit l’ère du Verseau

C’est toujours l’homme, l’homme et ses multiples visages, avec sa cupidité, sa rage, sa sauvagerie et l’odeur de la mort qui porte en lui. Il frappe toujours que lorsqu’il est du côté du plus fort, du plus nombreux, la mieux armée, et quel qu’en soit le côté de la frontière où il se trouve, c’est toujours le plus cruel, le plus meurtrier et le plus sinistre des deux antagonistes qui l’emporte sur le camp adverse. Ainsi le nazi, le juif, le sioniste, le palestinien, le salafiste, le musulman, le chrétien, l’athée, le païen, l’américain, l’irakien, le blanc ou le noir, tout cela ne sont que de multiples visages que l’esprit empreinte durant un bref laps de temps, aucun d’entre eux n’est ni meilleurs ni pire que l’autres, leurs causes et leurs croyances sont tout aussi éphémères et obsolètes
des uns que des autres. Sous le masque il n’y a toujours que l’humain. L’ère du Verseau baller les masques et fait apparaître l’humain, et lorsque l’humain apparaît sans masque, c’est Dieu qui apparaît, c’est Dieu qui parle, c’est Dieu qui agit !
Le premier principe de l’ère de Verseau (qui se trouve également dans les 5 soutras reportés par le yogi Bhajan), stipule que tant que l’homme ne reconnait pas dans l’autre, une extension de lui-même, il est condamné à périr et il ne connaîtra ni la paix ni la félicité. 

 L’ère du verseau n’enseigne rien d’autre que ce qui est écrit dans les anciens textes sacrés, à savoir que l’univers fonctionne selon les lois de cause à effet, que nous sommes tous liés par des cordons akashiques, et par conséquent lorsqu’on fait du tort à quelqu’un, si éloigné soit-il, c’est l’organe mère tout entier qui souffre et qu’il s’en souvient et cette souvenir nous hanteras aussi, dans cette vie, mais aussi dans l’autre, car personne ne peut être détaché du Grand Tout. Ses principes seront scientifiquement étudier et enseigner, et lorsque les gens seront éduquer et élever dans la vérité, ils réfléchiront à deux fois avant de commettre l’irréparable. 

La Religion de l’Ere de Verseau

L’entrée dans l’ère du Verseau fera naître, de la même manière que les ères qui lui ont précédés, une religion universelle qui perdurera des siècles et donc l’influence idéologique, éthique et philosophique, imprégnera chaque pensée de l’homme durant bien des millénaires ! Cette religion qui pourtant n’en sera pas une, car elle sera radicalement opposée à toutes les autres religions connues de l’humanité, aura cependant le plus grand nombre d’adhérant à travers le monde, beaucoup plus qu’aucune autre religion, secte ou autre obédience à travers le monde.

Cette religion naîtra de la fusion de la science et de la spiritualité, elle aura donc un aspect très épuré et scientifique, même si au fond d’elle, elle obéira toujours à une conscience extrêmement Solaire, et donc lié à des valeurs traditionnelles et transcendantales, et cela parce que son alter-égo se trouvera en face, dans la constellation de Lion.   

Cette religion n’aura pas de dogme, mais une série de recommandation sous forme de conseils avisés, plus proche d’une sorte de mode d’emploi, qu’on appellera parfois le code universel. Ses conseils seront bien sûr adaptés et ajustés à la situation particulière de chaque personne, et pourront varier en fonction du milieu et du climat culturel et familiale de la personne. Bien sûr sur le fond ses principes  restent toujours le même. Et puis il n’y aura pas de temple, ni d’église et autre lieu de culte, ni même d’autel et d’eucharistie, il n’y aura pas non plus, de prêtre, de mage, de lama, ni aucune autre représentant d’une quelconque religion orthodoxe et organisé.

Que nous annonce l’horloge du monde ?

L’aiguille du monde, qu’on appelle également l’ASC du monde, pointe actuellement à 5° du signe des poissons, c’est-à-dire qu’en observant le Soleil levant du 21 mars 2015 à l’horizon Est (l’équinoxe de printemps), nous verrons le Soleil se lever à 5° du signe des poissons. Le pont vernal reculant que d’un degré tous les 72 ans, il faudrait donc encore environ 360 ans (72 x 5 : 360), pour que le point vernal se trouve « entre guillemets » officiellement au début du verseau, d’où le commencement de la nouvelle ère du Verseau. Toutefois à chaque équinoxe, le Soleil du verseau rayonne déjà à l’horizon Est, et l’ère du verseau inonde le monde depuis au moins quelques décennies de son influence Uranienne.



L’Équinoxe de Printemps  20 Mars 2016 5h30 (Le Soleil est sur le point de se lever à l'horizon Est, la constellation de Verseau est déjà à l’horizon). 

Pourtant si le destin du monde échappe encore aux calculs des astrologues contemporains, c’est parce qu’ils ont perdus les clefs de l’astrologie traditionnelle, et notamment concernant sa branche principale qu’on appelait jadis Astrologia Munda (l’Astrologie Mondiale). Grace à la magie de l’ère de Verseau, tout ce qui a été caché et occulté, sera de nouveau dévoilé, révélé, répandu et partagé pour le bien de tous. Et c’est dans ce contexte qu’intervient l’astrologie persane, un art plusieurs fois millénaires qui porte en lui les clefs des mystères des grands cycles de conjonctions planétaires. Utilisé depuis la nuit des temps pour connaître et prédire le destin du monde et des empires, elle est restée pourtant inaccessible au commun des mortels, tout en étant l’apanage de quelques rares initiés à travers le monde qui encore aujourd’hui veillent jalousement sur ses secrets.  

L’astrologie Persane à travers l’histoire

Les fondateurs des  sciences astronomiques et  astrologiques étaient les sumériens. En avance sur leur temps, les sumériens vont scruter le ciel étoilé durant plus de trois millénaires et vont léguer à la postérité d’immenses trésors de connaissances astronomiques et astrologiques. Le fruit de leur efforts sera récolté par les Babyloniens qui à leur tour vont du haut de leurs ziggourats scruter le ciel et perfectionner la science des astres des siècles durant jusqu’à ce qu’en l’an 539 av-JC (plus exactement le 12 octobre) Cyrus le grand annexe la Mésopotamie à l’empire perse et que les Mages mazdéens rajoute l’héritage plusieurs fois millénaires des babyloniens à leur doctrine Astral tout aussi riche et ancienne. Les Mages vont réformer, améliorer et adapter la doctrine astrologique des babyloniens à leur cosmologie qui été essentiellement solaire. Le fruit de cette synthèse est le couronnement suprême d’une science Astrale absolument extraordinaire qu’on appelait jadis l’Art de l’Astrologie Royale. 

Il faut savoir qu’avant la réforme de Cyrus le grand, L’astrologie Chaldéo-Babylonienne était essentiellement de connotation Lunaire. En effet les Babylonien utilisait un zodiaque lunaire qu’ils appelaient d’ailleurs le zodiaque de la voie de la lune, ce zodiaque comportait 15 constellations. Les pléiades, Orion, Persée, et le Cocher en faisaient parties. C’est après la réforme des Mages, que l’astrologie prendra une connotation solaire.

 La connotation Solaire 

La principale réforme qui va révolutionner la science astrale des babyloniens et d’en faire ce qu’on appelle aujourd’hui l’astrologie Judiciaire (le Jugement de Dieu annoncé par les Astres), c’est d’abord la division du Zodiaque en XII partie égale. Le calendrier persan étant solaire, l’année commence à l’équinoxe de printemps, qui à l’époque il y a environ 2000, correspondait (et d’ailleurs correspond toujours dans le calendrier tropique) à l’entrée du soleil dans le 1er degré du signe du bélier. Ce calendrier est dite également astrologique parce que chaque mois correspond à son signe astrologique, et commence avec l’entrée du soleil dans le 1er degré de ce signe ; par exemple le mois de mai iranien appelé Ordibehesht (Ashta-Vahishta), commence avec l’entrée du soleil dans le 1er degré du signe du taureau. Donc par exemple le 15 du mois de Mai, on sait automatiquement que le soleil se trouve à 15° du taureau

Les Origines de l’Astrologie Persane   

On dit que l’astrologie persane était le levier des Mages, que grâce à elle ils subjuguaient le destin, que par son pouvoir, les maîtres de Bactriane et de Suse ont conquis les plus grands empires de l’antiquité ! Il est alors fait mention d’une science mystérieuse qui permettait de connaître la volonté des dieux, et d’anticiper les ruses du destin. Un livre est alors souvent évoqué, un livre unique et énigmatique que Zoroastre aurait écrit de ses propres mains, et dans lequel se trouvait mentionnées tous les événements qui devaient se produire dans le monde, d’après l’influence des astres, à savoir les conjonctions de Saturne et de Jupiter. Il est indiqué qu’au cours d’une période de mille ans (960 ans), se produisent 48 conjonctions (de Saturne et de Jupiter) à raison de 12 conjonctions dans chacune des triplicités. Le livre indique les années où ses conjonctions vont se produire, selon les ères Grecque et Perse. 

Saturne et Jupiter, Arimanius et Oromazes, le Yin et le Yang, le Feu et la Glace, Dieu et le diable, les Izeds (yazata ; ange) et les Dews (dive ; démon), ici nous sommes dans le causa cosarum du mouvement perpétuel et de la lutte terrible et  éternelle qui oppose la dynamique ténébreuse, froide, féminine et restrictive de Saturne (de l’avestique ; Angra-mainyu, l’Esprit qui restreint) contre la dynamique lumineuse, chaude, expansionniste et masculine de Jupiter (de l’avestique ; Çpenta-mainyu, l’Esprit qui accroît). Saturne est Jupiter ne sont que les expressions célestes des forces bipolaires incarnées dans cette lutte.
Cette lutte n’est pas que cosmique, il existe également dans l’esprit de l’homme C’est le bon et le mauvais génie qui sont attribués à la naissance de chaque homme. On les appelle « karim al-kātebīn » ; les honorables Scribes. Ils reportent sans cesse les actes bon ou mauvais de l’homme. Ils ont un corps éthéré et sont petits de tailles, ils se tiennent l’un derrière l’épaule gauche et l’autre derrière l’épaule droite. Celui de droite se nomme Oshyar (pehlevi ; ōšyār, la conscience), il occupe le côté solaire et masculin de l’homme, celui de gauche se nomme Fariftār (pehlevi ; frēftār, trompeur, la tentatrice), il occupe le côté féminin et lunaire de l’homme. Chez la femme, bien sûr le processus est inversé.


Si l’aiguille du monde (le point vernal) nous indique le climat de la saison astrale qui débute durant une ère zodiacale, c’est surtout par l’étude des grands cycles des conjonctions de Saturne et de Jupiter, les deux principaux leviers du monde, qu’il sera établit de quel côté penchera la balance au début de chaque      millénaires ; à savoir du côté obscure, ou celui de la lumière …

La doctrine persane des grandes conjonctions obéie à la  théorie céleste des 9 cieux et des 4 éléments, et elle est basée sur 3 cycles fondamentaux des conjonctions de Saturne et de Jupiter.
1er cycle : Tous les 20 ans (plus exactement 19 ans, 324 jours, 14 heures, 23 secondes, 18 tierces, 6 quartes et 48 quintes), Saturne et Jupiter rentres en conjonction, ce cycle est appelé Minima (ou Specialis). Etant donné qu’il y a un intervalle de 20 ans entre chaque conjonction, les conjonctions se produisent en obéissant à un rythme triangulaire, qu’on appelle triplicité élémentaire. C’est-à-dire qu’entre chaque conjonction on trouve environ 240° de distance (plus exactement 242°, 25’, 17", 10 tierces et 6 quartes), ce qui correspond à 9 signes d’intervalle, en comptant bien sûr avec le signe dans lequel la conjonction a eu lieu. En claire si la 1ère conjonction de Saturne et de Jupiter a lieu à 0° 55’ de bélier, la prochaine aura lieu 20 ans plus tard vers 2° 25’ de Sagittaire, et de nouveau dans 20 ans, la troisième conjonction aura lieu, cette fois, au environ de 4° 50’ du signe de Lion, et ainsi de suite.
Notez l’importance du chiffre sacré 9, car c’est le nombre d’intervalle entre les conjonctions. Ce chiffre représente également les 9 cieux (ālame Ōlavī ; le monde sidérale, divin, céleste) et leur influence céleste sur le monde terrestre des 4 éléments (ālame Soflā ; le monde matérielle).   

2ème cycle : Durant plus de 240 ans, toutes les conjonctions de Saturne et de Jupiter se produiront continuellement dans les signes du feu (si toutefois le cycle a débuté dans un signe du feu). Chaque signe (Bélier, Lion, Sagittaire) recevra au totale 4 conjonctions, ce qui fait un totale de 12 conjonctions.  Ce cycle est appelé un cycle Media (ou Tigonalis) des conjonctions des grands Chronocrators dans une triplicité élémentaire. Notez le chiffre 12, car c’est aussi le chiffre des figures célestes.
Ainsi sous l’action répétée et omni puissante de la réunification des deux Chronocrats dans les signes du feu, toutes les qualités ignés liés aux ses signes du feu, telle la combativité, la fermeté, l’autorité, la témérité, le désir d’exploration, la force, la recherche de la justice divine, seront fortement activé. Les conjonctions auront également une influence considérable sur le plan mondiale, leur action se manifestera par de grands changements politiques, le pouvoir changera de main, les politiciens et les intellectuels qui ont une pensée et une philosophie expansionniste et un idéal élevé se trouveront soudain projetés sur le devant de la scène et obtiendront les postes clefs, le pouvoir économique et l’hégémonie territoriale des pays régit par les signes du feu, surpassera également les autres pays, les anciens empires dominantes s’affaibliront, et le pouvoir passera à de nouveaux empires naissantes.  

Chaque conjonction renforcera le triangle élémentaire du feu et déclenchera une forte décharge sidérale des fluides ignés dans le monde, faisant ainsi surpasser l’action du feu sur les autres éléments. Le monde sera ainsi soumit à l’action triangulaire du cycle de la triplicité du feu, subissant à tour de rôle les influences du signe de bélier, de sagittaire et de lion. C’est comme si Dieu ne parlait plus que la langue des lions, des sagittaires et des béliers durant plus de 2 siècles ! Cette influence ne cessera de grandir à chaque conjonction, jusqu’à atteindre la saturation totale de l’élément igné dans le réservoir de l’égrégore du monde sublunaire et élémentaire.

Le 3ème cycle se nomme Maxima (ou Climacteria), il correspond à un cycle d’environ 1.000 ans (plus précisément 960 ans). Il se produit lorsque Saturne et Jupiter terminent un cycle complet de conjonction (à commencer dans le début du bélier) à travers les quatre triplicités élémentaires et se retrouve de nouveau au début du bélier. 

 La Grande Mutation 

Les changements importants ont lieu au début de chaque nouveau cycle. Lorsque le cycle media des conjonctions se termine dans une triplicité élémentaire, et qu’un nouveau cycle débute dans une nouvelle triplicité élémentaire, de grands changements se produisent un peu partout dans le monde et on appelle cela « La Grande Mutation ». Le matérialisme excessif dans laquelle est plongé aujourd’hui le monde, est le fruit de l’entrée (mutation) des conjonctions des grand Chronocrators dans la triplicité des signes matérialistes de la terre (Taureau, Vierge, Capricorne) Le cycle a débuté le 17 juillet 1802, avec l’entrée en conjonction de Saturne est Jupiter à 4° du signe de la Vierge. Cela fait donc précisément 213 ans que le monde subit la domination des signes de la terre, 213 ans durant lesquels les martèlements perpétuels des grand Chronocrates dans les signes de la terre, ont enfoncées chaque jour d’avantage le monde, les hommes et leurs mentalités, toujours plus loin dans les entrailles de la matière. Depuis le début de la mutation neuf conjonctions ont déjà eu lieu dans les signes de la terre, et notamment quatre dans le signe matérialiste du Taureau !



Notez également que chaque triplicité élémentaire est régit par deux gouverneurs, et celle de la terre est régit par Venus et la Lune, d’où une certaine résurgence du culte lunairo-venusien de l’Islam. En triplicité de terre, se sont symboliquement les maisons II (argent) VI (travail) et X (carrière professionnelle) qui sont activées. 
   
Pour déduire de l’avenir du monde, les astrologues dressaient alors l’horoscope de la conjonction d’après le méridien du monde, un endroit mystérieux et magique qu’ils appelaient jadis le Mont Kloāzā, ou la demeure d’Ormazd ! Chose curieuse, le jour de l’équinoxe vernale, d’étranges éclaires apparaissent au sommet du mont Kloāzā (le plus haut sommet se situe à plus de 4450 mètres d’altitude). Ce fait a été reporté par Al-Biruni et quelques historiens de l’antiquité. Cet endroit est situé à 51° 30’ long E, du méridien de Greenwich (51° 30’ long E, 30° 52’ L N). Un temple avec un dôme en or, situé près de la ville de Bishapur, servait jadis un haut lieu de culte et un repaire astronomique par les Mages et les astrologues Chaldéens depuis au moins 4.000 ans. 

 Pour prédire avec précision ce qui allait advenir à un pays bien spécifique, les astrologues persanes avaient une technique propre à eu qui consistait à comparer l’horoscope de la conjonction, avec un autre horoscope qu’ils dressaient pour le moment exacte de l’équinoxe vernale précédant la conjonction (l’horoscope de la première éclipse de lune précédant la conjonction révèle également de précieux indices). De cette manière, ils prédisaient les événements majeurs qui allaient advenir aux royaumes concernés.   




Comme vous pouvez le constater, cet extrait se passe de commentaire, mais que nous révèle l’eschatologie mazdéenne sur cette époque trouble et périlleuse qu’est le nôtre ? De nombreux textes pehlevi contiennent des passages décrivant la fin du 7ème millénaire (gouverné par g), comme les extraits suivant de Zand ī Wahman Yasht :

Les hommes naitront plus vite (la durée des grossesses rétrécira)
Les cultures ne porteront plus de graines
L’eau manquera dans les rivières
La durée de l’année, des mois et des jours déclinera
« Durant ses temps, O Zoroastre Spitamide, les hommes deviendront des mystificateurs, ils se tromperont mutuellement et souhaiteront du mal les uns aux autres, l’amitié vraie sous l’égide de Mithra disparaîtra, la révérence, l’amour et le respect envers l’âme quittera aussi ce monde … la fortune et la respectabilité échappera des justes, des nobles et des sages et elle appartiendra aux étrangers et aux non méritants … ».
A la fin Ormazd (Jupiter) se trouvera à son apogée et détrônera Nahid (Venus), alors des troupes nombreuses surgiront avec des étendards ailés et la royauté reviendra à la ligné des       Kayanides …          

La dernière sentence est empreint d’un grand principe astrologique plus connu des anciens, qui veut que Venus préside à la luxure, à l’impulsivité et au débauche, que son apogée (Venus conjoint Mercure en Scorpion vers l’an 570) a provoqué la chute de l’empire Perse et des Mages adorateurs de Jupiter, que l’astre préside aussi à l’apparition des religions sectaires qui surgissent au crépuscule de Kali-Yoga !

Il est également impératif de noter un curieux passage du fameux Jāmāsp Nāmak, un traité apocalyptique mazdéen contenant des prophéties zoroastriennes sur la fin des temps. Attribué à Jāmāsp-ī Bitaxš (de l’avestique pati-axšā ; le reflet du ciel ou la lumière des astres), alchimiste, médecin, philosophe métaphysicien et chef suprême des astrologues royaux de l’ancienne royaume de Balkh (Bactriane), le manuscrit contient les prophéties de Jāmāsp, qui débutent de son temps (environ 2.300 av-JC) et s’étendent sur 5.000 ans dans l’avenir. Voici quelques extraits :

Les hommes qui naîtront en ses temps-là seront tous des mithra-drujān [des briseurs de serments, des menteurs. D’après la doctrine mazdéenne l’âme provient du Soleil est participe à la même substance éthérée, c’est pourquoi un homme qui vie dans la droiture, a l’âme unie à Mithra le dieu Soleil. Crée à l’image de dieu, il ne peut donc ni mentir, ni souiller la vie. Un mithra-druj est quelqu’un qui par excès de malfaisance a brisé le lien (contrat) qui l’unissait avec Mithra, son âme n’étant plus attaché au dieu, il peut désormais commettre le mal sans éprouver de remord], les uns envers les autres ils seront envieux, trompeurs et rancuniers. Vers la fin du dixième millénaire ( ?) dix mille dēvs (démons) fondront sur l’Ariana-Vaeja, étendards déployés. Les jours et les mois deviendront plus courts, il n’y aura plus de différence entre l’été et l’hiver, la terre se resserrera, les arbres et les plantes n’auront plus leur fécondité, de nombreux hommes seront contraint à l’exil, il erreront dans des contrés étrangers et tomberont en disgrâce, la guerre et l’impiété ravageront le monde, des batailles seront livrées où tant d’hommes périront que leur sang fera tourner les moulins, l’empire passera aux Roumi et aux Arabes qui courront sans kosti (ceinture sacrée portée par le mazdéen qui a reçu le baptême du feu), et d’eux à des peuples encore plus barbares, qui regarderont comme aussi indifférent de tuer un homme juste ou une mouche. L’empire sera exercé par la volonté d’Aēshma Daeva (démon de la rage et de la destruction) … En ses temps, un tiers de l’humanité périra …

Les prophéties de Jāmāsp se terminent sur un curieux évènement qui surviendra vers la fin du millénaire. En ses temps le Ajis Dahâka (le Dragon) se déchainera, et se métra à ravager le monde. Alors quelque part au Nord du royaume, pas loin de la mer [à l’époque l’empire Achéménide s’étendait au nord jusqu’au pays de l’Assyrie, de Sidon, de Tyr et ses frontières se prolongeaient jusqu’aux confins de Cappadoce, de Sarde et même au-delà de la mer-noire. Il est possible alors que se royaume soit celui de l’Assyrie, et l’allusion à la mer signifierait alors la méditerrané], un petit royaume, en apparence sans importance, appelé Patašҳvārgar [d’après d’autre source il s’agirait de l’ancien Tabaristān, appelé jadis le royaume d’Hyrcania, auquel cas il serait question de la mer Caspienne, plus à l’Est de l’empire, aujourd’hui occupait par les anciens républiques de l’ex URSS], sera soudain le sujet de tous les convoitises.
Alors trois nations s’allieront ensemble pour abattre le roi du pays, c’est trois nations sont ; les Turques, les Arabes et les Roumi, c’est-à-dire les chrétiens, ou les occidentaux !

Une guerre terrible aura donc lieu en cette région. Le roi de Patašҳvārgar n’a ni un grande armée et de grands généraux pour les commander, ni de quoi payer ses mercenaires, pourtant par une volonté supérieure, le royaume résistera aux attaques de ses ennemis. De l’issue de cette guerre dépendra bien-sûr l’avenir du monde ! Voici trois états ou peuples, à savoir les arabes (l’Arabie Saoudite), les turques (gouvernement d’Erdogan ?) et les Roumi (les USA ?) réunis ensembles afin d’abattre un petit pays situé au nord de l’Empire (ancien territoire de l’Assyrie). Cette prophétie évoquerait-il le conflit actuel Syrien ? 

Que peut-on déduire de l’avenir du monde, avec l’arrivé de la Grande Mutation dans la Triplicité des Signes de l’Air, prévue pour le 21 Décembre 2020 à 0° du signe de Verseau ?

La rentrée dans le cycle de la triplicité des signes d’Air, mettra progressivement fin à la boulimie matérialiste et au culte du profit dans lequel est actuellement plongé le monde (cette rentrée et toutefois basée sur le zodiaque tropique, en zodiaque sidérale la mutation ne se fera qu’en 2060).
Des personnes cultivées ayant une éducation scientifique, des savants, des intellectuels bienveillants et totalement détachés des valeurs capitalistes, mais aussi des personnes issues du peuple et ayants une conscience éclairée et un niveau spirituel élevé, se feront de plus en plus entendre et élire aux seins des gouvernements. Soutenus massivement par l’opinion publique, ces nouvelles castes intellectuelles et désintéressés, accèderont peu à peu au plus haut sommet des pouvoirs politiques et exécutifs en places, ils remplaceront très vite les vielles oligarchies des pétrodollars et autres marchands d’armes, et instaureront une sorte de gouvernement participatif qui œuvrera pour la sauvegarde de la planète. Les mentalités et les modes de fonctionnement axés sur la propriété privée et liées à l’acte compulsif de surproduction et de surconsommation subiront un changement radical, et les nouvelles générations auront une pensée plus humaniste, écologiste et universelle. 



Notez que l'entrée dans la Triplicité de l'Air activera symboliquement les maisons III (communication), VII (partenariat) et XI (fraternité, les grandes espérances). 

La science et la spiritualité fusionneront dans une harmonie universelle, et feront naître une nouvelle religion complètement synthétique et transcendantale qui intégrera toute la sagesse spirituelle et pragmatique que l’humanité à acquis depuis l’origine des temps. Plus concrètement la méditation transcendantale sera enseigner et pratiquer par des enfants dès leur plus jeune âge, des appareils engendrant des ondes alphas ou gammas seront mis à la disposition des débutants, un salaire universelle sera établit pour tous et ceux qui ne travaillent pas pourront en bénéficier, les réalités virtuels et la cybernétique fera partie intégrante de la vie, l’exploitation industrielle de la viande animale cessera et ont n’utilisera plus d’énergie fossile.

Bien-sûr, chaque impulsion stellaire engendre toujours une double potentialité de manifestation qu’en astrologie persane on qualifie de sa’d ou de nahs c’est-à-dire de bénéfique ou de maléfique. Le jugement sur l’orientation bénéfique ou maléfique que prendra le nouveau cycle, dépendra de l’examen de l’horoscope de la Grande Mutation, de l’extraction des parts importants de la Grande Mutation, de l’horoscope de l’équinoxe vernal précédant la conjonction ainsi que de celui de la nouvelle lune précédant la conjonction, mais aussi de celui qui adviendra aussitôt après.     
Devrions-nous ouvrir la boite de pandore ? Oserons nous jetez un regard sur le Jām-ī-Jahān namā  (le Graal, la coupe qui dévoile le monde) ? Avons-nous seulement le droit ? La sagesse requise ? A cette dernière question seul l’avenir répondra, mais pour ce qui est du reste, nous avons déjà franchis le seuil du sanctuaire depuis un moment, à présent, libre à vous d’y entrer ou de rebrousser chemin … 

Genituram Magni Mutationis 

L'interprétation de la grande Mutation est inclut dans la préface d'Anaghra Raochah (Astrologie Persane).  

jeudi 10 mars 2016

Donald Trump Horoscope analyse



Profection Donald Trump 2016-2017

Sâlkhodây (maître de l'année) Mercure / situé en X de la Révolution de l'année conjoint à
Alcyone : apporte éminence mais risque d'accident au yeux, ou visage.
Jânbakhtâr (le diviseur) à 24° de la Balance (dans les termes de Venus) situé en maison IV de la Profection et recevant un trigone de Mars Profecté.